L’aloe était déjà connue au temps des Egyptiens en tant que remède et était surnommée « le sang des Dieux ». Chez les Mayas, elle était considérée comme « source de jeunesse ». On dit que Cléopâtre avait l’habitude d’utiliser l’aloe pour soigner sa peau. Les soldats d’Alexandre Le Grand l’utilisaient pour soigner les blessures. Les médecins grecs comme Hippocrate ou Dioscoride s’en servaient lorsqu’une plaie cicatrisait mal, contre la chute des cheveux et contre les crampes incessantes d’estomac. En Russie, l’aloe est encore perçue aujourd’hui comme un élixir d’amour. Les feuilles d’aloe contiennent un gel hydratant avec plus de 160 substances comme les enzyme, les vitamines, les sels minéraux, les bioflavonoïdes, les glucides, les acides aminés et beaucoup de substances végétales secondaires qui lissent la peau et qui sont chéris par les industries cosmétiques. Par substances végétales secondaires on entend substances qui ne font pas partie des catégories de vitamines, sels minéraux, des thermiques de charbon ou des graisses ; on y retrouve donc la saponine, le tannin, catechine, acides aminés, acides tannés, acides salicyliques et huiles essentielles. Ces substances portent d’ailleurs très injustement le terme « secondaire » car leur synergie peut apporter énormément à notre corps.
