En Europe centrale, plusieurs variétés existent. L’épilobe à petites fleurs était autrefois considéré comme une mauvaise herbe qu’il fallait extraire d’entre les légumes du jardin. Elle contient des flavonoïdes, surtout des dérivés de l’huile camphrée, de la quérécétine et myricétine, ß-Sitostérol, divers esters du sitostérol, sitostérolglycosides et acide gallique et dérivés.
Maria Treben, l’experte en herbes médicinales, décrit sur la base de son expérience que l’épilobe à petites fleurs est la plante pour l’homme à partir de 40 ans. De temps en temps, chaque homme devrait faire une cure préventive, car l’épilobe permet de rétablir le flux urinaire.

